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Mercredi 30 avril 2014 à 16:05

 TEST

Jeudi 8 août 2013 à 21:44

Parce que j’ai l’impression que si je ferme les yeux, que j’y pense suffisamment fort, tout notre univers est encore là, à portée de main, palpable dans les moindres recoins.
Je sais le bruit que fais la serrure lorsque je tourne les clés puis ouvre la porte, je connais par cœur le bruit de mes pas sur le parquet. 
Je tends mon bras et je sais que si tout était encore là, si on n’avait pas décidé de tout casser, je pourrais  caresser le comptoir du bout des doigts et constater la poussière que l’on a laissé un peu trop s’accumuler sur les surfaces, dans les recoins de notre histoire.
Pour la première fois, en me réveillant dans cette nouvelle vie qu’on s’ai choisit, je me rend compte de la portée de nos actes. 
J’aimerais me réfugier dans ce cocon que l’on s’était construit mais plus rien n’y fait. Plus rien n’existe. 
Notre histoire est derrière nous et pour s’en assurer, on aura été jusqu’à en détruire les fondations.
On a sûrement fait les bons choix.
Pourtant je ne désire rien de plus que ta peau, ta voix reste la seule qui m’apaise, et tes bras me manquent.
Parce qu’il est difficile de choisir la voie du bonheur et de s’y tenir quand il faut d’abord passer par le manque de toi ...

Mardi 12 octobre 2010 à 10:56

 
" La crédulité se forge plus de miracles
que l'imposture ne peut en inventer " 
                          
                       [Joseph Joubert]
 

Lundi 20 septembre 2010 à 14:26

 Il avait tellement raison

J’ai souvent cru qu’il disait ce genre de choses pour me blesser. Bien que normalement, il se débrouillait très bien sans le faire consciemment.

« Mais Anaïs, OUVRES LES YEUX ! Le père Noël n’existe pas !! »
Il m’a tant de fois fait remarquer ma naïveté, reprocher ma « pureté ».
Je me suis souvent dis que c’est parce qu’il était méchant, sans cœur, que c’était parce qu’il ne m’aimait pas, qu’il voulait me prendre ces quelques dernières petites lueurs qui brillaient en moi.
Mais aujourd’hui je le sais. De désillusions en désillusions, c’est la réalité que je prends en pleine face, encore une fois.

Il avait raison.
Je suis « une enfant pourrie gâtée bercée dans un monde d’illusions, à qui on a fait croire que tout est beau, tout est simple, et que tout le monde est gentil »
Aujourd’hui je sais que même lors de ces journées « spéciales » les gens ne savent même pas faire semblant. Un petit sourire, une petite attention, une petite trêve familiale pour un petit mot gentil.

Et en fille pourrie gâtée que je suis, je me plains sur cette page, pleure, et m’enferme dans le noir loin des gens.
Au moins, derrière mes paupières, loin de la réalité, le monde semble un tantinet plus beau. 

Dimanche 23 mai 2010 à 13:31

 

http://ch0up.cowblog.fr/images/feuxaustralie12311571931178697-copie-1.jpg    

Envie de s'retrouver près du feu qui crépite
De s'entourer de tous ces sourires et de ces rires aux éclats.
De la boisson qui coule à flot pour un flot de bonne humeur.
Envie de rencontrer de nouveaux regards 
et d'oublier toutes ces choses qui sont censées avoir de l'importance.
Des instants de bonheur à l'état pur, coupés du monde réel.
De la vie en toute simplicité
Tout Simplement

¤ Comme un manque à combler ¤

 

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