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Lundi 11 janvier 2010 à 12:30

 Et comprendre avec le recul
qu'il vous trompait ...
                           N.A.I.V.E

Samedi 24 janvier 2009 à 22:28

        ... presque jour pour jour_     

On ne s’était rien promis. Ni le paradis, ni le purgatoire. Encore moins nos bras.
On ne croyait en rien. Ni au bonheur, ni aux chevaliers. Encore moins en l’amour.
 
Mais on s’est fait avoir. C’est beaucoup mieux. Beaucoup plus long. Et beaucoup plus con.
 
Nous rêvions à tout. Au miel romantique, aux alliances échangées. Encore plus à la vie.
Mais on ne savait pas. On ne savait rien. A part moi. Mais ça n’avait pas d’importance.
Alors j’ai cessé de rêver et j’ai craché sur les chevaliers qui n’existaient pas.
J’ai pris le purgatoire et je nous ai coupé les bras.
 
C’était il y a longtemps. 365 jours. Une éternité. Un rêve interrompu.
Une toile tachée de sang. Un baiser massacré.
Des marguerites écrasées d'avalanches.
C’était hier, il y a un an de ça.

Dimanche 30 novembre 2008 à 16:48

... Et moi.. En es-tu sûr?

[ Inexplicable ]

[ incompréhensible ]

[ inconcevable ]

ChOup est ... désapointée

:$ à ne pouvoir en parler :$
.
[09/06/2088 . 00:03:42 ]
Ton message, me fait encore mal _

 

Mardi 21 octobre 2008 à 19:39

                                       ... Depuis longtemps
_ Suppr _

Fermer les yeux, penser à autre chose, et le faire.

Contenir ses larmes; se dire que de toute façon, sa présence dans mes contacts *nous* faisait plus de mal qu'autre chose...

Je ne sais même plus depuis quand la page a été tournée...

On approchait des un an je crois..

A croire que ça n'a pas suffit..

Qu'il soit heureux, pour de bon et sans illusion, c'est tout ce que je souhaite.

Jeudi 11 septembre 2008 à 22:44

              ...jusqu'à ne plus jamais penser a toi_

Comme il est  interessant  de voir à quel point une simple odeur peut faire revenir des dizaines de souvenirs, jusqu'a faire apparaitre une boule de nerfs au creu de l'estomac_



Et petit à petit, toutes les paroles de la professeur ne devenant que subtilités face à ces images qui apparaissaient peu a peu devant moi, dansant sur le tableau vert de la classe;

Et cette voix de fond me ramenant tantot temporairement à la réalité, tantot me laissant replonger dans cet océan de mauvais souvenirs...

Jusque ce matin, je ne savais même pas que je m'en souvenais, de son parfum_


[ On oublie rien de ce qu'on veut oublier.
C'est le reste qu'on oublie_
Boris Vian. ]

 

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